Igor Severyanin — Prélude (traduction en français)

Les ombres de lune — les ombres de tristesse —
Errent d'un pied silencieux.
Dans un couvre-lit noir — comme le tort, le grief,
Errent d'un sentier suspicieux.


Elles bercent les gens avec de la tendresse,
Et ainsi elles scintillent, se reflétent.
Oh, ombres de lune, ombres de tristesse!
Ressemblent à ma silhouette!